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Le retour à l’activité se fait progressivement en France. Des aides financières sont mises en place pour vous accompagner et vous aider à surmonter cette crise. Nous faisons le point sur ces aides.

L’Agirc-Arrco : aide exceptionnelle pour les salariés

Les salariés cotisant Agirc-Arrco en difficultés financières à cause de la crise sanitaire peuvent bénéficier d’une aide pouvant atteindre 1 5OO €. Pour en faire la demande, il faut remplir un formulaire de demande d’intervention sociale simplifiée et fournir une déclaration sur l’honneur précisant sa situation et décrivant les difficultés financières rencontrées. Une analyse du dossier sera ensuite effectuée pour déterminer à qui cette aide sera accordée. Après acceptation, le déblocage de cette aide est effectué en un mois tout au plus. 

L’Assurance Maladie : subvention “prévention Covid”

L’Assurance Maladie peut rembourser jusqu’à 50% de vos dépenses pour l’achat de matériel de protection contre le virus réalisé entre le 14 mars 2020 et le 31 juillet 2020. Cette aide est destinée aux entreprises de 1 à 49 salariés et aux travailleurs indépendants (sans salarié) dépendant du régime général, à l’exclusion des établissements couverts par la fonction publique territoriale ou la fonction publique hospitalière. Cette subvention est conditionnée à un montant minimum d’investissement de 1 000 € HT pour une entreprise avec salarié et de 500 € HT pour un travailleur indépendant sans salariés. Le montant de la subvention accordée est plafonné à 5 000 € pour les deux catégories.

Pour bénéficier de cette aide, cliquez ici.

Modification des modalités d’obtention de l’aide de 5000 € du fonds de solidarité

Le décret n°2020-552 du 12 mai 2020 modifie le décret n°2020-371 du 30 mars 2020. Les modalités pour toucher l’aide du fonds de solidarité ont été élargies. Il est maintenant possible de demander l’aide même si vous n’avez pas de salarié. Pour bénéficier de cette aide, il suffit de faire une demande en ligne sur votre espace personnel du site impot.gouv.fr.

Le fonds de solidarité de 1 500 € élargi aux entreprise créées après le 1er février 2020.

Les entreprises dont le chiffre d'affaires est inférieur à 1 million d'euros, le bénéfice imposable inférieur à 60 000 € et qui ont connu une baisse d’au moins 50% de leur chiffre d’affaires entre le mois de février et le mois de mai 2020 pourront en bénéficier. 

Le plan d’aide pour le secteur du tourisme, de l’hôtellerie et de la restauration

Pour soutenir ces secteurs très en difficulté, le gouvernement a décidé de mettre en place plusieurs aides :

Pour plus d’information sur les aides possibles, une plateforme Plan Relance Tourisme a été mise en place, pour y accéder cliquez ici.

Savez-vous qu’un site de e-commerce peut vous permettre de vendre des services aussi bien que des produits physiques ?

En créant votre propre site, non seulement vous maîtrisez votre image et vos prix mais vous rendez votre offre disponible 7 jours / 7, 24 h/ 24.

Grâce à notre partenaire Shopify, vous pouvez aisément disposer d’un site et de toutes les fonctionnalités e-commerce qu’il vous faut pour créer, gérer et développer votre affaire.

De plus Shopify a développé des applications (avec une interface en anglais pour la plupart) qui permettent de vendre autre chose que des marchandises. En voici quelques exemples.

1 • Proposez des prises de rendez-vous

Ajoutez un calendrier dynamique à votre boutique en ligne pour permettre à vos clients de réserver des créneaux horaires adaptés avec une vérification de la disponibilité en temps réel. L’application se synchronise avec Google Agenda et envoie des e-mails de confirmation à vous et au client.

2 • Proposez des abonnements, des cours individuels de sport ou de toute autre activité

Vous pourrez vendre en ligne des abonnements à paiement unique ou à paiement récurrent. Cela peut permettre de gérer des activités qui se déroulent dans le monde physique (p.ex. des cours de yoga), ou gérer un accès à un contenu réservé uniquement aux membres.

Ou bien proposez l’achat de carnets de séances avec possibilité de réserver une place pour des cours. C’est une excellente option pour la gestion des abonnements aux gymnases et aux studios de yoga.

3 • Faites des consultations en ligne

Vendez votre temps. Que vous soyez designer d’intérieur ou coach de vie, un site e-commerce peut vous aider à planifier et à vendre des consultations en ligne ou en personne.

4. Vendez des téléchargements digitaux

Musique, e-books, éléments de design… envoyez instantanément les fichiers aux clients après l’achat, ou envoyez leur un lien de téléchargement.

5. Si vous vendez des services liés à l’événementiel

Les services de réservation liés à l’événementiel requirent la collecte d’informations supplémentaires auprès des consommateurs, ainsi qu’une application de réservation en temps réel pour garantir la disponibilité des services pendant les dates choisies.

6. Si vous louez des biens

Fluidifiez la procédure de location et automatisez le processus. Les périodes de location sont ajoutées à votre agenda, vous savez exactement quel produit est disponible à quel moment.

7 • Récoltez des dons

Recueilliez des dons ponctuels ou récurrents et automatisez l’envoi de reçus personnalisés aux personnes qui réalisent des dons.

Vous pouvez également offrir aux clients l’option de réaliser des dons lors du passage en caisse.

8. Proposez des cartes-cadeaux digitales

Les cartes-cadeaux sont des articles digitaux qui peuvent très facilement être ajoutés à n’importe quel site web. Elles peuvent fonctionner à la fois pour les sites e-commerce de produits et les sites de vente de services lorsqu’elles sont utilisées en ligne.

Avec Shopify vous pouvez également les personnaliser.

Quelle que soit votre activité, vous pourrez aussi proposer des devis depuis votre site

Disposez d’une solution pour recueillir les demandes de devis des consommateurs depuis votre boutique, suivez le statut des devis et échangez avec vos clients. L’application QuickQuote de Shopify peut également se révéler très utile pour les designers graphiques, les fabricants de meubles, les freelances, ou pour les activités qui nécessitent la réalisation de projets personnalisés de plus grande envergure.

Qwampus vous accompagne à toutes les étapes de votre projet de création d’entreprise. Pour bénéficiez de l’ensemble de nos services et de nos tarifs négociés avec nos partenaires, cliquez sur "Je me lance" et créez votre compte.

Vous pourrez alors commander une solution Shopify depuis votre compte, onglet Création, étape Point de vente pour créer le site e-commerce qui vous convient.

Alors que la volonté politique était à l’incitation à l’accompagnement de l’entrepreneuriat, la crise du COVID-19 a chamboulé le système d’accompagnement. Depuis plus d’un an, elle force les nombreuses structures d’aide à fermer partiellement ou totalement leurs portes.

848 160 entreprises ont été créées en 2020 selon l’Insee

Incubateurs et pépinières d’entreprise où d’ordinaire les imprimantes, les machines à cafés et les couloirs se transforment lieu d’échange, ont vu leur effervescence retomber. Les élans de partage et de convivialité sont mis à mal notamment par le port du masque et le gel hydroalcoolique à chaque pas de porte.

Le concept de réunir dans un lieu unique les acteurs de l’entrepreneuriat pour les faire se rencontrer et encourager leurs échanges s’est développé au fil des années. Devenant presque incontournables à la création d’une entreprise, les structures et moyens se sont déployés pour convenir au plus grand nombre.

Adhérer à une telle organisation représente de nombreux avantages comme bénéficier d’installations en libre-service ou encore avoir un accès privilégié aux évènements organisés. L’aspect financier est aussi un véritable atout pour les entreprises. La mise en commun de locaux et services avec les autres entreprises incubées minimise l’investissement consacré à la logistique des bureaux.

L’intégration d’un incubateur peut se faire dès l’émergence de l’idée entrepreneuriale. Les professionnels pourront ainsi aider l’entrepreneur dans la création de son entreprise, dans la rédaction d’un dossier pour récolter des fonds et permet également la mise en réseau avec d’autres professionnels du secteur.

En prime, dans une pépinière dont le principe est de développer l’activité, un service de secrétariat partagé est souvent proposé.  Très prisé, il a pour but de dédier quelqu’un au standard tout en diminuant les coûts de recrutement.

Lorsque l’activité a pour but de produire des biens, certaines pépinières peuvent proposer des locaux pour réaliser du prototypage, de la petite production ou de stocker des biens nécessaires au lancement d’une activité.

La pépinière est souvent le fruit d’un acteur public comme une agglomération ou une ville. Celle-ci demande un engagement de deux à cinq ans maximum afin d’assurer la réussite de l’entreprise tout en opérant un roulement pour accueillir de nouvelles entreprises. L’engagement auprès d’une structure permet également l’accès à un tarif préférentiel sur le mobilier, la logistique sans avoir à se soucier de la maintenance comprise dans les charges du contrat.

42,5% des 18-30 ans souhaitent créer un jour leur entreprise, (Opinion Way)

Les étudiants d’aujourd’hui sont les actifs de demain et possiblement les entrepreneurs de demain. C’est pourquoi, une série d’actions à destination des étudiants a été instaurée pour les encourager à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale.

En 2014, le Ministère de l’enseignement supérieur pour répondre à l’envie entrepreneuriale a créé le statut d’étudiant-entrepreneur. Cette qualification accessible dès l’obtention du bac ou autre équivalence a pour objectif de stimuler l’entrepreneuriat. Le statut donne le droit à des formations, des aides financières, une mise en réseau ainsi qu’un accès à des espaces de coworking. Les 30 PEPIT (pôle étudiant pour l’innovation, le transfert, l’entrepreneuriat), répartis dans toute la France, encouragent tous les étudiants volontaires à débuter leur activité entrepreneuriale via une formation intensive d’un an minimum.

Etre étudiant-entrepreneur accorde en plus du diplôme en cours, le D2E (diplôme étudiant-entrepreneur) et offre une légitimité supérieure face aux investisseurs. Les chances de succès de l’entreprise sont alors maximisées.

En 2019, selon une étude réalisée par OpinionWay, 45% des étudiants et lycéens professionnels envisagent de créer ou reprendre un jour une entreprise. De ce pourcentage, 20% désirent le faire pendant ou juste après leurs études

Les écoles de commerce ont également créé dans leurs locaux leurs propres incubateurs de start-up. Avec des formations et des temps forts, les étudiants bénéficient des conseils et de l’expérience de professionnels., Cependant, ces formations regroupant bon nombre d’étudiants ne peuvent plus se tenir en présentiel comme initialement prévues, les espaces de coworking se retrouvent alors vide d’étudiants.

A destination des étudiants, seuls les concours de financement n’ont pas été impacté dans leur fonctionnement pas la crise. Ils offrent toujours aux étudiants la possibilité de financer en partie le projet entrepreneurial. En prime d’un financement, les concours permettent aux étudiants de faire connaître leur initiative en se présentant à des professionnels.

Parmi les nombreux concours présents sur le territoire français, on peut citer le Concours national d’aide à la création d’entreprise, Talents des cités, Petit Poucet, Moovjee ou encore Graine de boss.

En 2017, 584 000 jeunes ont trouvé un emploi grâce aux missions locales

L’insertion dans la vie active via les missions locales et maisons de l’emploi n’a malheureusement pas échappé aux conséquences de la crise. Les structures d’aide fermées, les entreprises frileuses face à l’embauche et un entrepreneuriat perçu comme trop risqué financièrement, l’insertion des jeunes dans la vie active s’est compliquée durant l’année écoulée.

Les missions locales se sont retrouvées face au mur. Sur une bonne lancée avec 584 000 emplois trouvés en 2017, l’année 2020 a remis en question leur système de fonctionnement. Investies dans un service d’aide la création depuis quelques années au sein de leurs structures, les missions locales ont dû adapter leur offre.

Les maisons de l’emploi ont également subi la crise. Elles répondent habituellement aux besoins du territoire en créant au sein de leur organisation des emplois et des formations répondant aux problématiques de la collectivité territoriale et des entreprises locales. Elles aussi ont dû elles aussi arrêter partiellement leur activité en raison de la crise.

Toutes ces structures reposent sur la présence physique de chacun dans l’organisation et y sont dépendantes. Dès lors que le présentiel n’est pas autorisé, tout un secteur est condamné. C’est pourquoi, à contre-courant de ces structures, notre solution digitale a été créé pour offrir un service d’accompagnement opérationnel en toute circonstances 7 jours sur 7 – 24h/24h. De cette façon, nous offrons à l’entrepreneur l’assurance de l’avancée de son projet.

Digitaleo est un outil de communication digitale tout-en-un qui vous permet de communiquer simplement avec vos clients par email, SMS ou via des landing pages (pages sur lesquelles vos prospects arriveront après avoir cliqué sur un lien que vous leur partagerez). Vous pouvez créer vos propres campagnes de communication en ligne ou utiliser des modèles tout prêts qui vous sont proposés. Cet outil est une plateforme SAAS (en ligne, sans téléchargement) accessible n’importe où avec une simple connexion internet. 

L’utilisation de Digitaleo est rendue très ludique. 

Voici quelques captures d’écran pour vous donner une idée de la simplicité de l’outil :

Créer une campagne :

Gérer votre base de prospect :

Des modèles prêts à l'emploi

Suivez simplement les instructions :

Comprendre la législation du e-commerce

Connaissez-vous la législation du e-commerce ? Le e-commerce est un des business les plus populaires depuis quelques années. Véritable poule aux œufs d’or, les bénéfices des e-commerçants ont explosé et ce même pendant la crise de la Covid-19.

Devant cette aubaine, nombreux sont les entrepreneurs qui décident de se lancer dans ce domaine, mais peu sont ceux qui prennent la peine de se renseigner sur la législation en vigueur. Nous allons présenter dans cet article les principales règles à connaître quand on se lance dans le commerce en ligne.

1) La législation du e-commerce : généralités 

Le e-commerce désigne la vente de biens et services sur internet. Partant de cela, ce domaine applique la même législation que celle de la vente à distance ou par correspondance.

Les professionnels de la vente à distance doivent fournir au consommateur, de manière lisible et compréhensible, les informations prévues par l’article L.221-5 du Code de la consommation. Ces informations doivent se trouver sur la page des Conditions Générales de Ventes d’un site e-commerce.

Un autre élément important quand on possède un site e-commerce est la collecte de données. La RGPD est venue durcir les conditions de collecte de données et un refus d’appliquer ces règles vous rend passible de sanctions judiciaires.

Tout commerçant qui collecte des données clients doit procéder à une déclaration simplifiée ou une déclaration normale auprès de la Cnil.

Quelles sont les principales conditions de collecte de données sur votre site ?

Pour espérer faire de l’emailing, le e-commerçant doit posséder une mailing list "propre”. C’est-à-dire constituée des adresses mails obtenues avec l’accord des prospects. Ainsi vous aurez la possibilité de lancer des campagnes d’emailing dans un but promotionnel sans contrevenir à la loi.

Enfin, celui qui accepte de donner son adresse mail doit obligatoirement pouvoir se désinscrire de votre mailing list. Cela se traduit souvent pas un lien à la fin de chaque mail que le client reçoit.

2) Les moyens de paiements et la livraison 

Vous devez vous assurer de la disponibilité de vos produits avant d’en faire la promotion. En effet, en cas d’impossibilité de livraison après conclusion du contrat de vente, vous vous exposez à une sanction pour pratique commerciale trompeuse. En cas de contentieux, le cas de force majeure peut être invoqué mais il est rarement admis.

Il est possible d’exiger que le paiement se fasse lors de la commande ou alors à la livraison. Pour permettre le paiement par carte bancaire, vous devez souscrire à un contrat de vente à distance avec votre banque.

Le e-commerçant à l’obligation de livrer son client dans un délai maximum de 30 jours. En cas de vente de biens et services à distance, il devra indiquer une date limite d’envoi avant la conclusion du contrat.  Autrement, il devra livrer le bien ou exécuter le service dès la conclusion du contrat.

Si vous accusez un retard de livraison, le client peut demander le remboursement de la commande dans les 14 jours suivant le jour du paiement.

3) Droit de rétractation et de retour 

La législation du e-commerce stipule qu’à la réception de son colis, le client a 14 jours pour exercer son droit de rétraction. Les conditions relatives au droit de rétraction doivent impérativement figurer dans les conditions générales de vente de votre site. Le client doit ainsi pouvoir avoir accès à un formulaire de rétractation sur votre site.

Une fois que le client vous fait parvenir sa demande de rétraction, vous avez 14 jours pour procéder à son remboursement (frais de livraison inclus).

Sauf mention précise dans le contrat, certains produits ou services ne sont pas soumis au droit de rétraction. Parmi ceux-ci, on a :

En ce qui concerne le renvoi d’un produit, vous y êtes tenus en cas de produit défectueux ou non conforme. Le consommateur peut demander le remplacement de son produit par un neuf ou par un autre produit de même valeur, voire le remboursement de sa commande.

Les coûts de renvoi sont à votre charge si vous n’avez pas fait mention du contraire dans vos CGV. Enfin, le consommateur prendra en charge tout coût de livraison supplémentaire lié à sa nouvelle commande.

Les éléments ci-dessus sont donnés à titre d’information. Ils ne sont pas forcément exhaustifs et ne sauraient se substituer aux textes officiels.

Pour de nombreux demandeurs d’emploi inscrits à Pôle Emploi, créer son entreprise est un moyen pour retrouver une activité professionnelle. En France, comment ce parcours d’entrepreneur évolue-t-il ? Dans quelles proportions ?

Qui sont les demandeurs d’emploi créateurs d’entreprise ?

Dans cette situation, les créateurs d’entreprise sont majoritairement des hommes (66%) âgés de plus de 30 ans (69%). La quête d’autonomie, l’amélioration de la condition de travail et l’envie de réaliser leur projet professionnel sont les principales motivations pour se lancer dans l’entrepreneuriat. 

Les aides favorisant la création d’entreprise :

Les demandeurs d’emploi créateurs d’entreprise sont aidés tout au long du processus grâce à des aides financières :

Ils bénéficient aussi d’accompagnements pouvant prendre la forme  :

Les demandeurs d’emploi créateurs d’entreprise peuvent également avoir accès à des formations. Seulement 3 créateurs sur 10 ont bénéficié d’une formation et 75% d’entre eux en ont été satisfaits. Bien que ces formations soient très utiles pour le développement d’une entreprise, il est difficile pour les créateurs d’y participer souvent en raison de leur manque de moyens financiers et de temps. 

Le bilan positif

Les aides proposées aux demandeurs d’emploi créateurs d’entreprise ont fait leurs preuves puisque 3 ans après validation de leur projet neuf projets de création d’entreprise sur dix ont abouti et trois entreprises créées sur quatre sont toujours en vie. Ces entrepreneurs travaillent en moyenne 53 heures par semaine et ne font pas de distinction entre jours de semaine, week-end et jours fériés. Leurs revenus en début de création sont modestes mais augmentent au fur et à mesure. 

Par contre, certains créateurs d’entreprise ont du mal à réaliser leur projet en raison notamment : 

Les démarches ont néanmoins été simplifiées avec la mise en place du statut juridique de la micro-entreprise (pour plus d’information sur ce statut, lisez notre article devenir micro-entrepreneur ?). Environ un sur deux demandeurs d’emploi créateurs d’entreprise ont opté pour ce régime. 

Un autre aspect positif de cette création d’entreprise, c’est la création d’emploi : chaque création d’entreprise entraîne en moyenne la création de 1,8 emploi en 3 ans. 

Vous venez de créer votre magasin ?  Vous ne savez pas par où commencer pour valoriser votre point de vente ? Vous voulez attirer un maximum de clients ? Nous vous conseillons sur l’agencement de votre magasin.

Réussir l’aménagement de sa boutique est essentiel. Il s’agit de l’image de votre marque, du premier contact que vous avez avec les clients. Il faut donc travailler sur la devanture, la vitrine et l'intérieur du local.

La devanture de votre magasin

Nous vous conseillons, d’entrer au plus tôt en contact avec le service urbanisme de votre ville afin de savoir s’il y a des règles et des obligations à respecter concernant l’aspect extérieur de votre point de vente. Il faut aussi vous renseigner sur les normes existantes (conception de la vitrine, largeur de la porte d’entrée, rampe d'accessibilité pour personnes à mobilité réduite, etc.). Une fois que vous connaissez toutes les caractéristiques à respecter, vous pouvez passer au design général. Vous aurez pourrez choisir une devanture en fonction du style que vous souhaitez donner : 

La devanture doit aussi venir mettre en avant le nom de votre enseigne pour que les clients s’en souviennent. 

La vitrine 

Si votre devanture doit attirer le chaland, c’est à la vitrine qu’il revient de valoriser votre offre. Il faut donc l’organiser de sorte que les clients aient envie de rentrer. Plusieurs éléments sont à prendre en considération pour bien réussir l’agencement de votre vitrine : 

L’intérieur 

Parmi les plus gros œuvres, vous devez déterminer si vous souhaitez apporter des modifications aux murs et au sol. Puis, vous devrez soigner l’aménagement en choisissant notamment du bon mobilier (comptoir de vente, présentoirs, vitrines d’exposition…). L’ensemble doit refléter une ambiance attractive propice à procurer une expérience mémorable à vos clients. 

En ces temps de crise Covid-19, le ministère du Travail vous aide à y voir plus clair. Une grande FAQ a été créée. Ainsi, quelle que soit votre situation, vous pouvez trouver la réponse à vos questions. Pour y accéder, c’est très simple, cliquez ici.  

Le ministère du Travail publie des fiches conseils et des guides par branche professionnelle. Vous y trouverez toutes les informations concernant votre domaine d’activité : les mesures de protection contre la Covid-19 mises en place sur les lieux de travail et les moyens pour assurer la continuité de votre activité économique. Pour y accéder, c’est très simple, cliquez ici.

En raison de la crise sanitaire de la Covid-19, vous êtes nombreux à travailler depuis votre domicile. Bien que ce mode de fonctionnement ne soit pas habituel pour vous, il peut vous aider à générer de la croissance dans votre entreprise.

Il y a encore quelques années, travailler de chez soi était inconcevable pour de nombreuses personnes mais, aujourd’hui, ce format de travail s'impose progressivement. Les progrès technologiques favorisent ce changement de management. Pour pouvoir télétravailler, une connexion internet et un ordinateur suffisent souvent.
De nombreuses études présentent le télétravail comme générateur d’innovation et de productivité. En effet, soulagés des contraintes habituelles (retards dus aux embouteillages/aux grèves, absence pour garder son enfant malade…), les employés peuvent travailler à leur rythme dans un environnement plus calme et confortable. Ils sont moins soumis au stress et, par conséquent, plus performants. Cependant, pour avoir des résultats positifs, il faut que le télétravail soit bien structuré. Avec une équipe managériale à l’écoute et présente pour ses employés, le télétravail génère de la responsabilisation et de l’autonomisation. Mais, si la hiérarchie est autoritaire et peu communicante, les employés peuvent renouer avec le stress, éprouver un sentiment d'isolement sans réussir à être efficace.

Il y a donc des inconvénients et des avantages au télétravail, mais dans le contexte actuel, il est une alternative salutaire pour ceux dont le métier le permet.

Conseil n°1 : Faites un planning pour structurer vos journées
Organisez votre de travail en vous fixant des horaires.
Fixez vous des objectifs à atteindre
Pensez à faire des pauses dans la journée
Déconnectez du travail en dehors de vos horaires

Conseil n°2 : Travaillez dans un environnement calme
Organisez un espace de travail dédié
Fixez des règles avec vos proches pour ne pas être régulièrement dérangé

Conseil n°3 : Communiquez
Prenez le temps de communiquer vos résultats à votre équipe
Restez disponible et à l’écoute pour continuer de travailler en équipe

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